Merci d'héberger vos photos à la définition maximum de 1024 pixels (autant en hauteur qu'en largeur).
Mercredi 29 novembre 2017
4 participants
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Michel, je préfère la première, l'éclairage semble venir du dessous par derrière. Est-ce seulement un effet d'optique.

Invité- Invité
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Merci à vous , je vois que les couleurs sont toujours appréciées quand il s'agit de nature !
C'était de bonne heure le matin en Bretagne , donc avec un éclairage naturel et je me suis accroupi presque face au soleil , d'où les nombreux flares qui étaient voulus ou du moins recherchés justement.
Joli ton "paon du jour" Marc.

C'était de bonne heure le matin en Bretagne , donc avec un éclairage naturel et je me suis accroupi presque face au soleil , d'où les nombreux flares qui étaient voulus ou du moins recherchés justement.
Joli ton "paon du jour" Marc.
Dernière édition par mich42 le Mer 29 Nov 2017, 13:13, édité 2 fois
mich42-
- Prénom : Michel
PhotoShop Eléments
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Je préfère la couleur.
Michel le N&B ne s' applique pas à toutes les photos , nature comme les autres .....
Super , Marc ton papillon....
Super aussi le tien , Michel....
J'suis très prise en ce moment , mais je vais reprendre mes balades solitaires en forêt et donc les photos ....
Michel le N&B ne s' applique pas à toutes les photos , nature comme les autres .....
Super , Marc ton papillon....
Super aussi le tien , Michel....
J'suis très prise en ce moment , mais je vais reprendre mes balades solitaires en forêt et donc les photos ....
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Michel je préfère la 1 aussi, comme tu dis quand il s'agit de fleurs, avec d'aussi jolies couleurs que sur ta photo, c'est mieux.... en couleurs
Et les papillons sont superbes

Et les papillons sont superbes



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Bien le bonjour

« Tu ne prends pas une photographie, tu la crées. » (Ansel Adams)
dan83143-
- Prénom : DAN
photoshop
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Magnifique Michel tes papillons.
Je n'ai pas l'habitude de prendre des photos en proxi, ni macro, par contre j'adore les Cardères, j'en ai planté devant et derrière la maison. Alors quand un papillon passe par là…ce qui devient de plus en plus rare, grâce à nos amis agriculteurs et la ribambelle de produits en « cide » ( herbicide, insecticide, fongicide etc).
Pour Vaga, notre conteuse-maison, un conte de Grimm
Il était une fois une jeune fille qui ne voulait jamais filer ; sa mère avait beau dire et se fâcher, elle n'arrivait pas à la faire travailler.
Un jour, l'impatience et la colère de la mère allèrent si loin, qu'elle en vint à battre sa fille, qui se mit à pousser des cris. Dans le même moment, la reine passa devant la porte ; émue de ces cris, elle fit arrêter sa voiture, entra dans la maison et demanda à la mère, pourquoi elle battait son enfant, au point qu'on l'entendait de la rue.
La bonne femme eut honte d'avouer la paresse de sa fille, et dit : « Je ne peux lui faire quitter le rouet ; elle veut toujours filer, je suis pauvre, et ne puis acheter une telle quantité de lin !
- Je n'aime rien tant que de voir filer, répondit la reine, et je ne suis jamais si gaie qu'en entendant tourner les rouets ; pourrais-tu me donner votre fille pour l'amener au château : j'ai assez de lin pour qu'elle y file tant qu'elle voudra. »
La mère fut bien contente de ce langage, et la reine prit la fille avec elle.
Dès qu'elles furent arrivées au château, la reine conduisit la jeune fille dans trois chambres toutes remplies, de haut en bas, de lin magnifique.
« Maintenant, file-moi ce lin, dit-elle ; et si tu viens à bout de la besogne, tu épouseras mon fils aîné ; quoique tu sois pauvre, je n'y regarderai pas de si près, car ton activité incessante est une assez belle dot. »
La jeune fille était mortellement effrayée : jamais elle n'eut su filer ce lin, quand elle eut vécu trois cents ans et se fut mise à filer du matin au soir. Lorsqu'elle fut seule, elle se prit à pleurer et resta ainsi trois jours sans remuer la main. Le troisième jour, la reine revint, et voyant que rien n'était filé encore, elle parut bien étonnée ; mais la jeune fille s'excusa sur la tristesse qu'elle éprouvait d'avoir quitté la maison de sa mère. La reine n'y trouva rien à redire ; seulement en sortant, elle dit :
« Il faut pourtant que, demain, tu te mettes à la besogne ! »
Lorsque la jeune fille fut seule à nouveau, ne sachant où trouver aide ni conseil, dans sa tristesse, elle se mit à la fenêtre. Alors, elle vit venir trois femmes dont la première avait un gros pied large, l'autre une langue si grosse qu'elle lui pendait jusqu'au menton, et la troisième un pouce plat. Quand elles furent au-dessous de la fenêtre, elles s'arrêtèrent, regardèrent en haut et demandèrent à la jeune fille, ce qu'elle avait. Elle leur raconta ses tourments ; les trois inconnues lui proposèrent de l'aider et lui dire :
« Veux-tu, nous inviter à ta noce, ne pas être honteuse de nous, nous appeler tes cousines et nous placer à ta table avec toi ? Nous te filerons ce lin en peu de temps !
- De tout mon cœur, répliqua-t-elle ; entrez seulement, et commencez tout de suite votre tâche. »
Elle fit donc entrer ces trois femmes étranges ; puis elle leur ménagea une niche dans le lin de la première chambre, où elles s'assirent pour filer. L'une tirait le fil et faisait aller le rouet ; la seconde mouillait le fil ; la troisième le tordait et frappait la table avec son doigt ; et chaque fois qu'elle frappait, un écheveau du fil le plus fin tombait à terre. La jeune fille cachait les trois fileuses à la reine et lui montrait, à chaque visite, la masse de lin qui s'élevait, si bien que celle-ci ne trouvait pas assez de compliment pour elle.
La première chambre épuisée, on attaqua la seconde, puis la troisième qui fut bientôt vide aussi. Alors les trois femmes prirent congé de la jeune fille, en lui disant :
« N'oublie pas ce que tu nous as promis ; ce sera le gage de ton bonheur. »
Quand la jeune fille eut montré à la reine les chambres vides et l'amas de lin filé, ce fut vite fait d'arranger la noce ; et le fiancé, ravi d'avoir une femme si habile et si active, lui en fit ses compliments.
« J'ai trois cousines, dit la jeune fille, et comme elles m'ont obligée, je ne voudrais pas les oublier dans mon bonheur ; permettez que je les invite à ma noce et qu'elles soient assises à notre table. »
La reine et le fiancé le lui accordèrent volontiers. Or comme la fête commençait, les trois femmes entrèrent habillées de vêtements bizarres, et la fiancée dit :
« Bonjour chères cousines!
- Ah ! Dit le fiancé, d'où te vient cette parenté étrange. »
Il alla auprès de celle qui avait le pied large et lui demanda :
« d'où vient que vous avez le pied si large.
- De frapper le rouet, dit-elle, de frapper le rouet. »
Le fiancé alla ensuite à la seconde et lui dit :
« d'où vous venez cette langue pendante.
- De mouiller le lin, dit-elle, de mouiller le lin. »
Puis il questionna la troisième :
« d'où vient que vous avez le pouce si plat.
- De tordre le fil, dit-elle, de tordre le fil. »
Sur quoi le fils du roi, effrayé s'écria :
« Alors, ma belle fiancée ne touchera jamais à un rouet ! »
De cette façon, jamais plus elle n'eut besoin de filer.
Je n'ai pas l'habitude de prendre des photos en proxi, ni macro, par contre j'adore les Cardères, j'en ai planté devant et derrière la maison. Alors quand un papillon passe par là…ce qui devient de plus en plus rare, grâce à nos amis agriculteurs et la ribambelle de produits en « cide » ( herbicide, insecticide, fongicide etc).
Pour Vaga, notre conteuse-maison, un conte de Grimm
Il était une fois une jeune fille qui ne voulait jamais filer ; sa mère avait beau dire et se fâcher, elle n'arrivait pas à la faire travailler.
Un jour, l'impatience et la colère de la mère allèrent si loin, qu'elle en vint à battre sa fille, qui se mit à pousser des cris. Dans le même moment, la reine passa devant la porte ; émue de ces cris, elle fit arrêter sa voiture, entra dans la maison et demanda à la mère, pourquoi elle battait son enfant, au point qu'on l'entendait de la rue.
La bonne femme eut honte d'avouer la paresse de sa fille, et dit : « Je ne peux lui faire quitter le rouet ; elle veut toujours filer, je suis pauvre, et ne puis acheter une telle quantité de lin !
- Je n'aime rien tant que de voir filer, répondit la reine, et je ne suis jamais si gaie qu'en entendant tourner les rouets ; pourrais-tu me donner votre fille pour l'amener au château : j'ai assez de lin pour qu'elle y file tant qu'elle voudra. »
La mère fut bien contente de ce langage, et la reine prit la fille avec elle.
Dès qu'elles furent arrivées au château, la reine conduisit la jeune fille dans trois chambres toutes remplies, de haut en bas, de lin magnifique.
« Maintenant, file-moi ce lin, dit-elle ; et si tu viens à bout de la besogne, tu épouseras mon fils aîné ; quoique tu sois pauvre, je n'y regarderai pas de si près, car ton activité incessante est une assez belle dot. »
La jeune fille était mortellement effrayée : jamais elle n'eut su filer ce lin, quand elle eut vécu trois cents ans et se fut mise à filer du matin au soir. Lorsqu'elle fut seule, elle se prit à pleurer et resta ainsi trois jours sans remuer la main. Le troisième jour, la reine revint, et voyant que rien n'était filé encore, elle parut bien étonnée ; mais la jeune fille s'excusa sur la tristesse qu'elle éprouvait d'avoir quitté la maison de sa mère. La reine n'y trouva rien à redire ; seulement en sortant, elle dit :
« Il faut pourtant que, demain, tu te mettes à la besogne ! »
Lorsque la jeune fille fut seule à nouveau, ne sachant où trouver aide ni conseil, dans sa tristesse, elle se mit à la fenêtre. Alors, elle vit venir trois femmes dont la première avait un gros pied large, l'autre une langue si grosse qu'elle lui pendait jusqu'au menton, et la troisième un pouce plat. Quand elles furent au-dessous de la fenêtre, elles s'arrêtèrent, regardèrent en haut et demandèrent à la jeune fille, ce qu'elle avait. Elle leur raconta ses tourments ; les trois inconnues lui proposèrent de l'aider et lui dire :
« Veux-tu, nous inviter à ta noce, ne pas être honteuse de nous, nous appeler tes cousines et nous placer à ta table avec toi ? Nous te filerons ce lin en peu de temps !
- De tout mon cœur, répliqua-t-elle ; entrez seulement, et commencez tout de suite votre tâche. »
Elle fit donc entrer ces trois femmes étranges ; puis elle leur ménagea une niche dans le lin de la première chambre, où elles s'assirent pour filer. L'une tirait le fil et faisait aller le rouet ; la seconde mouillait le fil ; la troisième le tordait et frappait la table avec son doigt ; et chaque fois qu'elle frappait, un écheveau du fil le plus fin tombait à terre. La jeune fille cachait les trois fileuses à la reine et lui montrait, à chaque visite, la masse de lin qui s'élevait, si bien que celle-ci ne trouvait pas assez de compliment pour elle.
La première chambre épuisée, on attaqua la seconde, puis la troisième qui fut bientôt vide aussi. Alors les trois femmes prirent congé de la jeune fille, en lui disant :
« N'oublie pas ce que tu nous as promis ; ce sera le gage de ton bonheur. »
Quand la jeune fille eut montré à la reine les chambres vides et l'amas de lin filé, ce fut vite fait d'arranger la noce ; et le fiancé, ravi d'avoir une femme si habile et si active, lui en fit ses compliments.
« J'ai trois cousines, dit la jeune fille, et comme elles m'ont obligée, je ne voudrais pas les oublier dans mon bonheur ; permettez que je les invite à ma noce et qu'elles soient assises à notre table. »
La reine et le fiancé le lui accordèrent volontiers. Or comme la fête commençait, les trois femmes entrèrent habillées de vêtements bizarres, et la fiancée dit :
« Bonjour chères cousines!
- Ah ! Dit le fiancé, d'où te vient cette parenté étrange. »
Il alla auprès de celle qui avait le pied large et lui demanda :
« d'où vient que vous avez le pied si large.
- De frapper le rouet, dit-elle, de frapper le rouet. »
Le fiancé alla ensuite à la seconde et lui dit :
« d'où vous venez cette langue pendante.
- De mouiller le lin, dit-elle, de mouiller le lin. »
Puis il questionna la troisième :
« d'où vient que vous avez le pouce si plat.
- De tordre le fil, dit-elle, de tordre le fil. »
Sur quoi le fils du roi, effrayé s'écria :
« Alors, ma belle fiancée ne touchera jamais à un rouet ! »
De cette façon, jamais plus elle n'eut besoin de filer.
Invité- Invité
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Les 3 fileuses, un conte a lire en même temps que RUMPELSTIILZCHEN des Grimm aussi...
Leurs différences sont intéressantes...
Le nombre 3 toujours là , et mon texte sur les contes explique cela ....
Un conte c' est la mère la cause et 3 vieilles qui aident et la reine mère passe...et c'est l' épreuve du filage du lin, pour 3 chambres! Par contre le prix à payer n' est pas le même.
Le principe masculin ne fera plus travailler sa femme afin que le principe féminin ne se " déforme" pas.
L' autre conte c'est le père la cause et un nain qui aide et le roi passe...et c' est l' épreuve du filage de la paille en or, pour 3 chambres.Le prix à payer est plus conséquent, garder son enfant , le prince. Elle réussit elle même la dernière épreuve et se libère du mauvais principe masculin , sa face d' ombre qui disparaît dans les profondeurs de la terre.
Le tout finissant dans le couronnement....Cette fameuse couronne de l' unité!
Leurs différences sont intéressantes...
Le nombre 3 toujours là , et mon texte sur les contes explique cela ....
Un conte c' est la mère la cause et 3 vieilles qui aident et la reine mère passe...et c'est l' épreuve du filage du lin, pour 3 chambres! Par contre le prix à payer n' est pas le même.
Le principe masculin ne fera plus travailler sa femme afin que le principe féminin ne se " déforme" pas.
L' autre conte c'est le père la cause et un nain qui aide et le roi passe...et c' est l' épreuve du filage de la paille en or, pour 3 chambres.Le prix à payer est plus conséquent, garder son enfant , le prince. Elle réussit elle même la dernière épreuve et se libère du mauvais principe masculin , sa face d' ombre qui disparaît dans les profondeurs de la terre.
Le tout finissant dans le couronnement....Cette fameuse couronne de l' unité!

Re: Mercredi 29 novembre 2017
Vaga, il faut peut-être rappeler ici que « Rumpelstilzchen » c’est l’histoire d’une fille qui change en or la paille du blé. Le mot Rumpelstilzchen en Allemagne comme en Autriche est passé dans le vocabulaire courant. Il en existe plein de variante, même une au Tyrol où Napoléon est impliqué.
Invité- Invité
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Elle ne change rien du tout.... C' est le nain ( l'ombre du masculin et souterrain) qui le fait ....
Dans les trois fileuses c' est l' ombre du féminin, dans l' autre c' est l' ombre du masculin....



Dans les trois fileuses c' est l' ombre du féminin, dans l' autre c' est l' ombre du masculin....
Dernière édition par Vagabonde le Jeu 30 Nov 2017, 10:45, édité 1 fois
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Merci à vous , Fan , Marc , Pierre et Dan pour vos avis sympas qui font plaisir !
J'aime beaucoup ce conte Marc.
J'aime beaucoup ce conte Marc.
mich42-
- Prénom : Michel
PhotoShop Eléments
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Moi, à force de faire des raccourcis, je me fais taper sur les doigts !
Oui, c’est le père de la fille qui se vante, il prétend que sa fille est capable de changer la paille en or. Alors le seigneur du coin l’enferme dans une salle remplie de paille. C’est alors que le fameux nain apparaît et lui propose de filer la paille à sa place. En paiement, il réclame le premier né de la jeune femme.
Voilà madame la conteuse, cette fois, pas de coups de règle, j'espère.
Oui, c’est le père de la fille qui se vante, il prétend que sa fille est capable de changer la paille en or. Alors le seigneur du coin l’enferme dans une salle remplie de paille. C’est alors que le fameux nain apparaît et lui propose de filer la paille à sa place. En paiement, il réclame le premier né de la jeune femme.
Voilà madame la conteuse, cette fois, pas de coups de règle, j'espère.
Invité- Invité
Re: Mercredi 29 novembre 2017
RIRES!
Pas de coup de règle , juste faire ressortir les différences de ces contes si proches et pourtant si opposés par leur cible.
En fait , je n'ai pas encore fait d' étude sur ces deux contes , j' ai juste ressorti leurs différences....
Filer , dans les contes c' est filer son destin.... Il me faudrait plus de temps pour comprendre la portée philosophique des 2 contes....
Pas de coup de règle , juste faire ressortir les différences de ces contes si proches et pourtant si opposés par leur cible.
En fait , je n'ai pas encore fait d' étude sur ces deux contes , j' ai juste ressorti leurs différences....
Filer , dans les contes c' est filer son destin.... Il me faudrait plus de temps pour comprendre la portée philosophique des 2 contes....



Re: Mercredi 29 novembre 2017
Si, je me souviens bien, mais suis pas certain, je t’avais envoyé la version avec un Ogre (Napoléon) à la place du seigneur qui enferme la jeune fille dans sa tour ; ça illustre bien la plasticité des contes.
Invité- Invité
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Pas se souvenir , mais tu sais ma mémoire me joue des tours ....
Napoléon qui fait travailler les femmes ? Que dis je EXPLOITER!
Les contes sont plastiques sur la forme , rarement sur le fond
Napoléon qui fait travailler les femmes ? Que dis je EXPLOITER!

Les contes sont plastiques sur la forme , rarement sur le fond
Re: Mercredi 29 novembre 2017
Michel, la première aussi pour moi sans hésitation. Par contre, c'est sur le cadrage que j'ai un peu de mal. J'aurais peut-être essayé de pencher l'appareil pour avoir la tige un peu en diagonal
.
Pourquoi je ne vois pas la photo de Marc (c'est la même chosa dans d'autres posts
. Serait-ce des photos issues d'un autre hébergeur que mon système informatique bloquerait....
Je préfère ton deuxième papillon Michel. Dans la première, le support n'est pas mis en valeur si bien que j'ai l'impression que le papillon n'est pas accroché à cet épis.

Pourquoi je ne vois pas la photo de Marc (c'est la même chosa dans d'autres posts


Je préfère ton deuxième papillon Michel. Dans la première, le support n'est pas mis en valeur si bien que j'ai l'impression que le papillon n'est pas accroché à cet épis.
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« La critique est aisée, mais l’art est difficile »
Beaud57-
- Prénom : Patrick
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